Le ciel, au-dessus des Corbières catalanes, s’est lié au souffle brûlant des garrigues, à la gloire de verticales boursouflures, qui s’érigent, tel, un temple habité de mille feux, un temple, fondé sur l’abîme et les embruns des vagues décapitées qui s’échouent sur la grève .
Ici, maintenant, gît une grandeur, né de la lumière des arbres de feux, que je convoite au terme de mon exil.